Notre promenade-découverte va partir d’ici, …au carrefour de la grande rue de Barbizon avec la route départementale D64 qui va vers la Plaine de l’Angélus, Chailly en Bière et Paris.
Regardez cette carte postale de 1900 ! Pour remonter la grande rue en direction de la forêt… il suffit de suivre les voies du tramway, le petit train à vapeur qui reliait Barbizon à la Gare de Melun de 1898 à1938…
Ne cherchez pas (au coin de la rue du 23 Août) le restaurant « Au bon coin » …il a disparu lui aussi, ..
Et la maison que l’on voit derrière, ce n’est plus la petite épicerie où les enfants achetaient des bonbons en revenant de l’école.
En face de la petite épicerie, la Galerie BLAISE et la célèbre GALERIE TRIADE ont, elles aussi, disparu …

mais rassurez vous, Suzanne Tarasieve avait donné alors une impulsion décisive au commerce de l’Art à Barbizon :
aujourd’hui, nous allons pouvoir visiter plus de dix galeries de peintures à Barbizon.
Et d’ailleurs, commencez par entrer dans la jolie petite…Galerie ARTES .
On y trouve souvent des œuvres très originales et très accessibles…
( Consultez BARBIZON,LE GUIDE : Galeries d’Art et Ateliers d’artistes )
De la philosophie à la gastronomie…
LE RELAIS DE BARBIZON
Vous le voyez sur cette carte postale, en face du « bon coin », il y avait déjà un hôtel-restaurant: la Pension de Familles H.Toulouse. On y recevait du beau monde : le célèbre historien Hypolite Taine s’y était installé en 1870 avec toute sa famille pour y écrire…son premier livre de philosophie : « DE L’INTELLIGENCE »…

Déjà, l’Esprit soufflait… à Barbizon ! C’est la première personnalité que nous y rencontrons….Il y en aura beaucoup d’autres…
voir notre article : Les célébrités de Barbizon : Ecrivains, musiciens et comédiens…
L’hôtel TOULOUSE est ensuite devenu « LE RELAIS DE BARBIZON », avec sa jolie terrasse ombragée.
Et c’est maintenant un (excellent) restaurant de poissons et de fruits de mer, dont la renommée s’étend.
Réservez-y une table en consultant notre page des restaurants !
Restaurant LE RELAIS
La rue des fermes
Vous le voyez sur l’image du Relais : la GRANDE RUE se poursuit vers l’Ouest par une rue pavée :
C’est la rue de Fleury : on l’appelait « LA RUE DES FERMES ».
A l’époque des peintres, elle desservait plus de 10 fermes . La dernière ferme en exploitation cessa son activité en 1997 : c’était celle de Roger Avelange (dit Coco ).Son épouse : Gisèle Avelange a été notre maire de Barbizon de 1983 à 1997. C’est à elle que l’on doit la restauration de l’auberge Ganne, et la création du nouveau Musée.
Au bout de la rue de Fleury
la « ferme du couvent »
la plus ancienne bâtisse de Barbizon…
Tout au bout de la rue, ouverte sur la plaine de l’Angélus, il y a la « Ferme du Couvent». Elle inspira de nombreux peintres et photographes. C’est surement la plus ancienne construction du village.
Aux archives départementales de Seine-et-Marne, les baux de cette ferme remontent jusqu’en 1389…
Dépendant de la paroisse de Chailly-en-Bière, Barbizon n’était alors qu’un tout petit hameau qu’on nommait… BARBITIO ( en latin ) ou BARBUISON, ou BARBISSON… ou BARBIZON ! On a finalement opté pour le Z… heureuZement !
« Quels joli z’horizons z’ont… les pein-tres z’à Bar-bi-Zon ! » ( Chanson des peintres z’à Ganne)
Revenons au départ de la Grande rue,
A la pharmacie, au N°98…
Voici l’entrée de la grande rue, certainement après 1898 : il y a déjà les rails du Tramway.
Les habitants du 102 Grande rue sont sortis de chez eux …pour poser pour le photographe.
Derrière eux, sur la gauche, on voit la villa Beausoleil au N°98,
et au loin les Garages et l’auberge Ganne.
Mais il n’y a encore aucune pharmacie, ni d’un côté, ni de l’autre.
Quelques années après, on voit que, la première pharmacie a été installée.
Regardez la croix verte du côté impair de la rue.
Ce n’est qu’ en 1920 que » le potard » a traversé la grande rue… pour s’installer en face, au N°98, dans la « villa Beausoleil ».
La pharmacie est restée longtemps très modeste. En 1975, elle était tenue par un pharmacien poète, qui écoutait de la musique toute la journée, et qui n’aimait pas être dérangé… même si c’était pour lui acheter des médicaments…Barbizon, pays des artistes !

au N°83, « la Tentation de Barbizon »,…
Après son départ sur l’autre rive, la pharmacie
avait été remplacée —pour le plus grand plaisir des dames de Barbizon, —par un magasin de lingerie fine,tissus, rideaux, mercerie…, qui portait un doux nom : « A la Tentation de Barbizon »…
Il faut dire qu’un film de ce nom avait défrayé la chronique locale en 1946…
voir plus loin, l’arrivée du septième art à Barbizon.
En 1985, la TENTATION ,qui avait un peu vieilli, a laissé la place à une galerie de peinture réputée de Mr Got.
C’était un signe : Barbizon redevenait tentation pour tous les amateurs de peinture et de beauté…
Mosaïque N°2— La mare aux chênes 1 Jules Dupre [1811 – 1889]
Sur la droite de la rue, remarquez ce premier TABLEAU MOSAÏQUE N°2:
“La mare aux chênes” Jules DUPRÉ [1811 – 1889
]


Rappel biographique : Qui est Jules Dupré ?
Né à Nantes en 1811, il découvre la peinture de Constable en Angleterre en 1831. Il expose des paysages au Salon de 1832, et devient l’ami et le défenseur de Théodore Rousseau, de Millet, et de tous les peintres du groupe de Barbizon.
Sa peinture oscille entre le réalisme et le romantisme : il fait des effets de clair-obscur dans lequel il se complait à déchainer les éléments, l’orage, la pluie, le vent qui tord les branches des arbres.
>> à droite, au N°79 – On blanchissait le linge des hôtels et on ferrait les chevaux des diligences…
Durant de nombreuses années cette petite maison abrita une blanchisserie. La patronne et les employées repassaient face à la rue le linge des clients en villégiature dans les hôtels, tandis que le Maréchal-Ferrant s’affairait dans son atelier tout à côté. Aujourd’hui, c’est un cabinet d’ophtalmologie.
et à côté, il y’a un très joli salon de coiffure.
>> Avez-vous repéré, à droite le beau TABLEAU MOSAÏQUE N°3 ?
3 — Intérieur de forêt en hiver / Karl Bodmer [1809 – 1893]
“Intérieur de forêt en hiver” Karl BODMER [1809 – 1893]

Qui est le peintre Karl BODMER ? un personnage important pour Barbizon
Célèbre peintre suisse (Reinbach 1809 – Barbizon 1893) et excellent graveur, il se fixa à Barbizon en 1849.
Dans la futaie du Bas Breau, on a même donné son nom » LE BODMER » à un vieux chêne tout tordu qui était un de ses sujets préférés…
Il était un des grands animateurs des soirées artistiques de l’auberge Ganne, où il importa avec un grand succès la chanson suisse « les scieurs de long » reprise en chœur par tous les peintres de Barbizon, avec les bruits rythmés de rigueur.
Il acquit, en 1856 « … la maison de la mère Hervy, celle que Hunt avait louée pour y mettre ses chevaux. Il y fit construire ce qui est devenu le bâtiment principal de l’Hôtel, « LES CHARMETTES ». C’est là qu’est né son fils Rodolphe, peintre animalier ( et braconnier fameux ) qui a laissé, à sa mort, à la maison Schaller une dette record d’apéritis non réglés…
LES GARAGES A CHEVAUX…RENT A HORSE !
<< à gauche de la rue, au N°96 , à côté de l’Auberge Ganne, il y avait un loueur de voitures à chevaux.

L’auberge Ganne était totalement à l’abandon… Merci à Mr Leon Gauthier de l’avoir fait revivre.(voir plus loin)
Mais en 1903, le règne de l’automobile commençe. Alors, le loueur de voitures à chevaux devient tout naturellement… …GARAGE et atelier de mécanique automobile, avec une belle pompe à essence.
Il faut attendre 1998 pour que l’Art reprenne ses droits : le Garage devient, pour quelques années, un prestigieux magasin d’exposition de voitures sportives de luxe .
Boutique “LES CANS CANS”
Après l’Art automobile machiste,…retour à un très féminin salon de thé-brocante plein d’objets de décoration et de brocante choisis— Ne manquez pas d’y chiner ! voir la page boutique
<< plus loin à gauche, au N° 92 :
« L’AUBERGE GANNE»
C’est ici qu’a commencé l’aventure artistique de Barbizon…

Haut lieu de prédilection des peintres de « l’École de Barbizon », Depuis 1995, musée municipal puis départelmental …
Ne manquez pas de visiter ce lieu mythique !
C’est ici, dans cette petite épicerie-auberge du Père Ganne, de 1830 à 1870, que des jeunes artistes insolents, bruyants, passionnés, vont changer l’histoire de la peinture.
Ils y ont chanté, ils y ont beaucoup bu, ils ont refait le monde de l’Art dans des discussions passionnées.
Ils ont couvert les murs de l’auberge, les meubles, et les portes de placard de leurs rêves et de leurs fantaisies.
Ils avaient vingt ans… Ils ont eu du génie ensemble.
Ils ont attiré les peintres paysagistes du monde entier…
Ils ont ouvert la voie à l’impressionnisme.
« Songe à Barbizon ! Cette histoire est sublime… » disait Vincent Van Gogh.
Ne manquez pas l’audiovisuel qui raconte tout cela, avec la musique des pianistes et des chanteurs de Barbizon…
Musée départemental des peintres de l’école de Barbizon. -consultez notre page spéciale.
>> en face de l’Auberge Ganne, à droite au N°73 – Hôtel Restaurant « LA CLE D’OR »
un relais à chevaux transformé en hôtel pour les voyageurs…
Cet ancien relais à chevaux, en face de l’Auberge du Père Ganne, peut à juste titre se considérer comme le premier hôtel de tourisme ouvert à Barbizon. C’est Mme Allilaire, en 1891, qui eut l’idée d’y accueillir les visiteurs, ( on ne disait pas encore « les touristes ») qui affluaient déjà dans ce « village des peintres », devenu mondialement célèbre.
Etant l’épouse du serrurier de Barbizon, elle choisit naturellement comme enseigne pour son hôtel…une grande clé d’or.
En 1898, un événement : La vieille diligence, « la patache » laisse la place au chemin de fer : le petit train à vapeur ( le Tacot de Barbizon) prend les voyageurs à la Gare de Melun pour les déposer juste à la porte de la Clé d’Or.
C’est le succès ! Les stalles à chevaux qui entouraient la belle cour fleurie de l’hôtel sont transformées en chambres pour les voyageurs, avec tout le confort de l’époque..
La clé d’OR du septième ART
Au vingtième siècle, c’est ici que les artistes du cinéma vont découvrir à leur tour Barbizon.
Dans l’immeuble LES GLANEUSES, au N°94 ( juste en face de LA CLE D’OR) le grand acteur RAIMU tourne en 1942 « LE BIENFAITEUR ».

Tous ses amis du cinéma vont suivre : Fernandel, Ginette Leclerc ( la femme du boulanger) Viviane Romance (les Parapluies de Cherbourg) vont devenir des habitués de Barbizon.
Mireille Perrey y achète la Villa : » le Chaperon rouge » sur la plaine de l’Angélus…

En 1946, c’est François Périer et Daniel Gélin qui s’installent à la Clé d’Or pour y tourner « La tentation de Barbizon »… Le film est certes un navet, il faut le reconnaitre, mais il a toute sa place dans l’histoire du cinéma car un tout jeune acteur y fait ses débuts ; il n’a que deux phrases à dire :
il s’appelle Louis de Funès…

Il y a aussi Jean Marais qui devient un habitué de Barbizon. Le fantastique décor des Gorges d’Apremont. est très apprécié des réalisateurs pour tourner, à quelques kilomètres de Paris, les films de cape et d’épée qui sont censés se dérouler en Espagne ou dans les Cévennes.

Alors, bien sur, tous les amis sont là au bord de la forêt de Fontainebleau, dans les restaurants de Barbizon.
Jean Cocteau et Jean Marais vont acheter une maison à Milly-la-Forêt…
Ils y décorent magistralement la vieille chapelle romane » Saint Blaise des Simples »… au milieu des plantes médicinales. Au pays où se rencontre l’ART et de la NATURE, même les poètes devinennent peintres…
<
la signature de Cocteau, dans la chapelle de Milly-la-Forêt…
< à gauche, au N°86 , il y avait le célèbre BAR DU MUSEE de Bernard SAUVAT…
Les poètes deviennent chanteurs… dans le village des artistes…
Lorsque ce café-billard s’appelait encore CAFE DE L’UNION,… Barbizon était déjà lieu de prédilection pour les poètes :
Paul Valéry, Guillaume Apollinaire, Jacques Prévert …
En 1980, le « café de l’union » est devenu LE BISTROT DU MUSEE. Après les peintres paysagistes à l’auberge Ganne, voici le temps des légendaires diners-spectacles au bistrot du Musée : « L’amitié, c’est toujours un paysage… »
« pendant quinze ans, BERNARD SAUVAT ( le professeur est un rêveur… ) va réunir, dans ses « diners-spectacles » les poètes de notre temps ; les chanteurs-compositeurs comme Charles DUMONT ( Non ! Je ne regrette rien ! )
Georges CHELON, Herbert LEONARD, ( Pour le Plaisir… ) et puis Pascal DANEL ( laissons… la plage aux romantiques…)
Barbizon a retrouvé sa vocation : être un lieu de rencontre des artistes, dans l’amitié et le rire…
Bernard Sauvat habite toujours là, sa porte est toujours ouverte aux amis artistes.
A côté, le Bistrot du Musée est devenu une GALERIE d’ART à ne pas manquer…
N°86 Galerie de tableaux “La Galaxie des Arts” –
>> en face, à droite, au coin de la rue, TABLEAU MOSAÏQUE :
4 — le laboureur / Jule/ Veyrassat [1828 – 1893]
la suite de ce parcours sera complétée prochainement
aidez nous en envoyant vos images, vos souvenirs, vos critiques, vos corrections
>> à droite, au N°71 – Atelier Erika GAGÉ et Galerie : AU JARDIN DES ARTS
Atelier du peintre Journaux, du portraitiste Claude CHÉREAU La traductrice Marc LOGÉ y séjourna.
Durant l’occupation allemande Madame PARSON – TARTIERE hébergea des aviateurs abattus dans la région.
Restauré dans le style, c’est aujourd’hui « Au Jardins des Arts» atelier et galerie d’un peintre Barbizonnais.
<< à gauche, au N°84, jolie villa à l’Ammonite
>> à gauche TABLEAU MOSAÏQUE : “La gardeuse d’oies “ Constant TROYON [1810 – 1865]
5 — La gardeuse d’oies / Constant Troyon [1810 – 1865]
<< à gauche, au N°82 : galerie CATH M
<< à gauche, au N°82 : beau portail de ferme
Cette haute porte donnait accès à une ferme, dont l’un des bâtiments devint un atelier de menuiserie.
<< à gauche : TABLEAU MOSAÏQUE :
6 — Moisson / Charles-François Daubigny [1817 – 1878]
>> à droite, au N°69 : boutique Barbiz’ARTS, galerie cadeau
<< à gauche, au N°80 – « LA VIEILLE DEMEURE »
Habitation de Louis et René MÉNARD un des derniers « barbizonniers » oncle de Jean GALTIER.BOISSIÈRE.
<< à gauche, au N°78 : boutique Feel and Co et Ladurée
>> à droite, au N°67 : TABLEAU MOSAÏQUE : « Le Coup de vent » Jean-Baptiste COROT [1796 – 1875]
7 — Le Coup de vent / Jean-Baptiste Corot [1796 – 1875]
<< à gauche, au N°76 : Villa “Vieil Hermitage”
<< à gauche, au N°76 : TABLEAU MOSAÏQUE : « Décembre » Jean-Ferdinand CHAIGNEAU [1830 – 1906]
8 — Décembre 1 Jean-Ferdinand Chaigneau [1830 – 1906]
<< à gauche, au N°74 – « LES POMMIERS » villa de Jean GALTIER BOISSIÈRE
journaliste, écrivain, fondateur du « Crapouillot », journal satirique et politique, habita cette maison, non Loin résidait sa sœur célèbre à Barbizon pour ses tenues excentriques et surtout son troupeau de chèvres.
<< à gauche, au N°69 – Une ancienne ferme de la Grande rue.
<< à gauche, au N°66 – Corps de ferme.
Dernière ferme du centre village exploitée jusqu’en 1953.
>> à droite, au N°67 –
Au rez de chaussée s’est ouvert en 1920 le 1er étal de boucher de la commune, remarquable derrière sa grille caractéristique. –
Remplacé beaucoup plus tard par un atelier de peintre.
>> à droite, au N°63 – Ancienne ferme –
L’actrice Ginette LECLERC et son ami Lucien GALLAS y visitaient leur fille, en pension, durant les années 1940/48
>> à droite, au N°61 Bis – “La Crêperie de Barbizon”
Ancien Salon de Coiffure pour dames.
>> à droite, au N°61 – Galerie de sculpture de Mélanie QUENTIN–
anciennement Épicerie Fruits et légumes, puis Atelier exposition du peintre Michel BELLEC.
<< à gauche, au N°72 – Boulangerie –
– Jusqu’en 1940 débit de tabac. « Bistroquet » très petite salle en haut de quelques marches.
>> à droite, au N°59 – Boutique de fleurs et cadeaux “Pimentine”
<< à gauche, au N°70 – Épicerie COOP –
Durant de nombreuses années cette boutique fut un maillon du groupement de distribution bien connu « LA COOP»
Dans la cour se tenait la 1 ère agence immobilière du pays.
<< à gauche, au N°68, TABLEAU MOSAÏQUE : « La femme au puits » Jean-François Millet [1814 – 1875]
9 — La femme au puits / Jean-François Millet [1814 – 1875]
>> à droite, au N°57 – Charcuterie, Traiteur
>> à droite, au N°57 : TABLEAU MOSAÏQUE : « Sortie de forêt de Fontainebleau » Théodore Rousseau [1812 – 1867]
plaque de Théodore Rouseau
10 — Sortie de forêt de Fontainebleau / Théodore Rousseau [1812 – 1867]
>> à droite, au N°55 la Place du Monument aux Morts : Le GAULOIS d’Ernest Révillon
>> à droite, derrière le monument aux morts : LA CHAPELLE DE BARBIZON
elle a été construite en 1904 dans l’ancienne grange du peintre Théodore Rousseau.
Barbizon fait toujours partie de la Paroisse saint Paul de Chailly-en-Bière, et du Pôle Missonnaire de Fontainebleau.
Notre chapelle de Barbizon est ouverte tous les jours. Vous pouvez aller y mettre un cierge…
>> à gauche de l’église, passage vers l’Office du Tourisme et le Parking Marc Jacquet
Par un délicieux petit passage on accède aux rues de « derrière les jardins» par l’allée baptisée récemment du nom du peintre Anglais John CONSTABLE, natif de East – Bergholt ville jumelée avec Barbizon.
11 — Maison de Théodore Rousseau / George Gassies [1829 – 1919]
12 — L’église de Greville / Jean-François Millet [1814 – 1875]

13 — White horse / John Constable [1776 – 1837l
>> au fond de la place l’ATELIER de THEODORE ROUSSEAU
érigé en 1920 l’atelier du peintre Théodore ROUSSEAU devenu Musée Municipal en 1927, puis annexe (fermée) du Miséee départemental des Peintres de Barbizon.
<< à gauche, au N°66, portail d’une des dernières belles maisons rurales de Barbizon.
<< à gauche, au N°64 – une boucherie de charme dans une ancienne galerie de tableaux
Boucherie Épicerie Fruits et légumes. Autrefois Café restaurant une partie devint étal de boucher, l’autre partie blanchisserie, avant d’être la galerie exposition du peintre Marcel JACQUE jusqu’en 1990.
<< à gauche, au N°64 – Restaurant et terrasse : LE GAULOIS SUR LE GRILL
14 – L’Angelus/Jean-François Millet [1814 – 1875]
>> à droite, au N°53 – Villa « LES TILLEULS »
Ancienne résidence du Colonel DELAROQUE fondateur du mouvement « Les Croix de Feu»
<< à gauche, au N°58, au fond d’une jolie allée, “la maison des ancêtres”
<< à gauche, au N°60, villa “les marguerites”
>> à droite, au N°51 – Restaurant « L’ERMITAGE ST ANTOINE »
– Atelier et habitation du peintre Roland ARRIBAS de 1957 à 1970.
<< à gauche, au N°58, plaque de souvenir de David ROUSSET (1912-1997)
philosophe et écrivain trotskyste, déporté à Buchenwald, a écrit « l’Unvers concentrationnaire ». Anticolonialiste avec Jean-Paul Sartre, il dénonce aussi le goulag soviétique, et devient journaliste « gaulliste de gauche »…
<< à gauche, au N°56 INSTITUT DE BEAUTE “Carpe diem”
<< à gauche, au N°54 : TABLEAU MOSAÏQUE : « Lisière de forêt » Felix Ziem [1821 – 1911]
15 — Lisière de forêt 1 Felix Ziem [1821 – 1911]
<< à gauche, au N°54-56 – « Villa CYRANO» MAISON DE ZIEM
Ancienne demeure du peintre Félix ZIEM, puis atelier de peintre.
<< à gauche, au N°56 : Boutique “ GALERIE DES GOURMANDISES”
>> à droite, au N°47
Le chanteur Herbert LÉONARD habita cette maison.
>> à droite, au N°47 Galerie d’ART : ROUQUIER
<< à gauche, au N°50 – « BRASSERIE LE ROYAL »
<< à gauche, au N°48 – MAISON DE LA PRESSE
>> à droite, au N°43 – Cercle Laure Henry – Galerie d’art
Du nom d’une bienfaitrice de la commune durant les années 1920. Ancienne « Bibliothèque pour tous»
>> à droite, au N°41 – Galerie d’ART
Ancienne Maison Forestière jusqu’en 1972 elle abrita le Syndicat d’Initiative Salle de rencontre de l’Amicale de Barbizon – Elle devint Maison des Associations en 2001
>> à droite, au N°41, TABLEAU MOSAÏQUE : « Les Glaneuses » Jean-François MILLET [1814 – 1875]
16 — Les Glaneuses / Jean-François Millet [1814 – 1875]
>> à droite, au N°41, agence CHAUMETTE
<< à gauche, au N°44, agence immobilière “carré Immo”
>> à droite, au N°39 – Galerie d’ART “Barbara Coloma”
Longtemps magasin d’antiquités – souvenirs – cartes postales tenu par « MAMA» WAGNER – CAROL et Lucien CAROL parolier de Vincent SCOTTO, auteur de « Sous les ponts de Paris»
devenu ensuite la Galerie du peintre de Barbizon François Féderlé.
<< à gauche, au N°40 – « LES CHARMETTES » MAISON DE BODMER et célèbre Hotellerie

Ce fut d’abord la maison du peintre Morris Hunt qui y mettait ses chevaux. Le peintre suisse Bodmer l’acheta en 1856 et il y fit construire une villa en colombages. C’est là qu’est né son fils Rodolphe BODMER, qui devint peintre lui aussi, peintre animalier et braconnier fameux.
Karl BODMER, un personnage important pour Barbizon
En 1849, Il fréquenta l’auberge Ganne où il importa avec un grand succès la chanson suisse « les scieurs de long » reprise en chœur par tous les peintres de Barbizon.
Il acquit, en 1856 « … la maison de la mère Hervy, celle que Hunt avait louée pour y mettre ses chevaux. Il y fit construire ce qui est devenu le bâtiment principal de l’Hôtel, « LES CHARMETTES ».

1882, un des premiers et des plus fameux hôtels de Barbizon
En 1882, LES CHARMETTES devint un des premiers et des plus fameux hôtels de Barbizon .Les premiers touristes empruntant le chemin de fer et le tacot descendaient aux Charmettes.
Durant la guerre 1914/1918 cet établissement servit de refuge aux blessés en convalescence. Lieu de villégiature il reçut entre autre la Princesse Élisabeth d’Angleterre et le Prince Philippe en 1948
Le fils de Karl Bodmer,s Rodolphe, peintre animalier et braconnier fameux a laissé, à sa mort, à la maison Schaller une dette record d’apéritis non réglés…
<< à gauche, au N°38bis dans la cour des CHARMETTES : Galerie d’Art “LES OLIAIDES”
>> à droite, au N°35 – « LA BOHEME » Restaurant –
Ancien café- Bouvard » – Rebaptisé plus tard « La Bonne Auberge ».puis « la Bohème » redécorée par François et Françoise Féderlé.
<< à gauche, au N°38 LA “BOUTIQUE ROSE”
<< à gauche, au N°36 Galerie d’Art TURPIN
<< à gauche, au N°34 – « coz KER»
François MILLET un des fils de J.F MILLET habita cette maison avant Gustave EIFFEL.
>> à droite, au N°33 Boutique :
>> à droite, au N°33 – Agence immobilière.
Ancien bazar «on y trouvait de tout» tenu par la mère et ses filles.
Le père serrurier ferronnier travaillait au fondde la cour Juste à côté se trouvait un petit salon de coiffure.
>> à droite, au N°31 – Agence immobilière “L’Angélus”
<< à gauche, au N°34 – TABLEAU MOSAÏQUE : « Moutons au pâturage » Charles Jacque [1813 – 1894]
17 — Moutons au pâturage / Charles Jacque [1813 – 1894]
>> à droite, au N°31 – Restaurant « L’ANGÉLUS»
Ancien bar de l’hôtel Bellevue situé au fond du parc. Très fréquenté par la jeunesse Barbizonnaise de 1930 à 1950.
>> à droite, au N°31 au fond du parc : HÔTEL BUDGET INN’
>> à droite, au N°27 : MAISON ET ATELIER DE JEAN-FRANÇOIS MILLET
<< à gauche, au N°32
, Agence “BARBIZON IMMOBILIER”
<< à gauche, au N°30 « Villa ELISABETH »
L’écrivain Roland DORGELÈS auteur de « Les Croix de Bois» en fit sa résidence avant que la directrice des « Pléiades» n’en fit la sienne.
>> à droite, au N°25 – « Le HOUX»
Francis CARCO y recevait l’écrivain COLETTE.
Georges RICHARD peintre, conservateur avisé de l’Atelier MILLET figure atypique de Barbizon y résida jusqu’en 2002.
>> à droite, au N°23 Villa “les fusains”
<< à gauche, au N°28 – « LE PETIT MANOIR » Maison de DIAZ
Ancienne demeure du peintre Narcisse DIAZ DE LA PENA Le photographe CUVELlER, J.B. COMBLE 1er Maire de Barbizon, qui l’habitèrent lui donnèrent son aspect actuel.
18 — Lisière de Forêt / Narcisse Diaz de la Pefia [1807 – 1876]
19 — La fillette à la chèvre / Narcisse Diaz de la Penia [1807 – 1876]
>> à droite, au N°21 – Hôtel Restaurant « Les PLÉIADES» MAISON DE DAUBIGNY
ancien atelier du peintre François DAUBIGNY. Agrandi il devint sous la main de fer de « Mme Baratin » un hôtel restaurant réputé où se croisait des personnalités du monde artistique, littéraire et politique.
<< à gauche, au N°26 – « LA FLAMBÉE » — MAISON DE BARYE
restaurant aménagé dans l’ancienne maison du peintre et sculpteur Antoine BARYE. Au début du siècle librairie, location de livres, un salon de thé pâtisserie lui succéda, enfin le restaurant s’y installa.
>> à droite, au N°21 – Galerie d’Art GOT
<< à gauche, au N°24 – Maison de Jacque puis de GASSIES
Ancienne maison de Charles JACQUE peintre – Achetée par Georges GASSIES également peintre, sa petite fille Jeanne GASSIES y vécut jusqu’en 2003. Elle s’éteignit à la veille de ses 100 ans.
<< à gauche, au N°22 – Hôtel-Restaurant « LE BAS BRÉAU » Hotel SIRON puis HÔTEL de l’EXPOSITION – Stevenson’s House
Jadis « Hôtel Siron ». puis « Hôtel des expositions» le peintre hongrois Ladislas de Paal y séjourna. Robert Louis Stevenson, l’auteur de « l’Ile au trésor » y écrivit ses « forest notes ».L’hôte prit le nom de « Hôtel du Bas Bréau» en 1934. HIRO HITO empereur du Japon et son épouse l’impératrice y furent reçus en 1971 avant d’accueillir en 1984 les chefs d’états de la conférence du sommet européen.
<< à gauche, au N°20 – “LA POSTE de Barbizon” »
depuis son transfert en 1947 Élue bureau de poste le plus coquet de France en 1967.
Anciennement villa « Les Roses » demeure de Georges KRIER auteur compositeur de « La Valse Brune » et ancien président de la SACEM
>> à droite, au N°19 – « La petite maison»
« La petite maison» Résidence du peintre Victor LECOMTE jusqu’en 1929.
>> à droite, au N°17 – « VERTEFEUILLE »
Habitée par le peintre CÉRAMANO, elle abrita plus récemment le grand éditeur Pierre BORDAS.
<< à gauche, au N°18 – Villa L’OMBRAGEUX de George Sand à Maximilienne Whettnall
Arthur RUBINSTEIN, Samson François, venaient préparer leurs concerts en compagnie de Maximilienne WHETTNALL pianiste virtuose, t » prix de conservatoire
Cette maison aurait appartenu à George SAND à la fin du 19ème siècle
>> à droite au N°15 : Villa “La clairière”
>> à droite, au N°13 la Mairie
– LA MAIRIE – Inaugurée en 1957 Ancienne demeure et atelier du peintre Louis MASSON puis annexe de l’hôtel de la Forêt.
<< à gauche, au N°14 – « LA BELLE IDÉE»
Charles JACQUE, Félix HERBET, André ROUVEYRE en firent leur résidence.
<< à gauche, au N°12 – VILLA DES ARTISTES – GRIGORESCU
Hôtel Luniot-Ganne qui accueillit momentanément les meubles et les œuvres provenant de l’Auberge GANNE.
Le peintre roumain GRIGORESCU y séjourna.
>> à droite, au N°11 — l’auberge Diaz, “les biches”
– Hôtel Restaurant « La DAGUE» Ancienne « Auberge Diaz» aménagée petit à petit par le propriétaire cousin d’Elsa TRIOLET
<< à gauche, au N°6 – LA BARAKA
Construite en 1860 par Charles Emile JACQUE, habitée par Félix ZIEM puis:Camille PARIS.
Anciennement LE SOUVENIR. Jean LUCHAIR, rédacteur en chef du « Temps » y résida jusqu’en 1941
>> à droite, au N°5 la peite gare
la petite gare du T.S.M
la petite gare du T.S.M 5 – Jusqu’en 1946 subsistait la petite gare du T.S.M. devant laquelle la plaque tournante permettait à la locomotive de changer de sens.
la petite gare du T.S.M
<< à gauche, au N°4 ; le stand de tir…
Jadis à cet emplacement un stand de tir s’ouvrait sur la rue en fin de semaine.
<< à gauche, au N°4 : TABLEAU MOSAÏQUE : Rousseau – Charbonnier
20 — La cabane des charbonniers / Théodore Rousseau [1812 – 1867]
>> à droite, au N°1 la discothèque
L’hôtel de la forêt est devenu une discothèque
– Discothèque. Ancienne salle de Restaurant de l’hôtel de la Forêt, salle de réception, salle de danse, salon de thé, bar
Depuis 1977 bar dancing discothèque.
Chemin du bornage et Forêt
Le Bornage marquant la limite de la commune. Côté forêt « l’Allée aux Vaches» Côté village « le Patiot », large place, devint le début de la Grande rue.
N°7 – « LA BOULINIERE »
Fut la résidence d’Eugène FREYSSINET (1879/1962) ingénieur, inventeur du béton précontraint.
W17 Villa “Ker Monique” et Trotsky
« LA HAUTE FUTAIE» Cette villa qui s’appelait « Ker Monique» abrita en 1935 le célèbre révolutionnaire russe Lev Davidovitch BRONSTEIN plus connu sous le nom de TROTSKI. Pourchassé par les journalistes il s’enfuit au Mexique.
Forêt – Caverne des brigands
1937-Eugène Weidman, le serial killer « aux yeux de velours » à la caverne des brigands
le dernier guillotiné en public en 1938
Le 4 octobre, Jeannine Keller, femme de chambre divorcée recrutée par une fausse annonce recherchant une dame de compagnie, est tuée par Weidmann et Million dans la Forêt de Fontainebleau au lieu dit « La Caverne des Brigands » dans des conditions particulièrement abominables.
Retour vers l’Office du Tourisme, place Marc Jacquet
RUE Félix HERBET – RUE de la BELLE MARIE
N°5 – « LE MONASTERE »
Résidence du peintre Pierre THOREL.
N°7 – « LE HAMEAU »
Ancienne propriété d’un concessionnaire d’une marque d’automobile, amateur d’animaux sauvages. Fondateur du Cercle Sportif et Culturel.
N°23 – « L’ABRI » Apollinaire…
Le poète Guillaume APOLLINAIRE y vint en permissions durant la guerre 14/18. Le Comte de Juvigny, président de la Société hippique de France y demeura jusqu’en 1940.
Rue Jean-François Millet
N°14 – Hôtel Restaurant « LE MANOIR ST HEREM » – Picasso…
Autrefois « Hôtel Bellevue» pension de famille, tenu par une ancienne famille de Barbizon, hébergea entre autres PICASSO et sa famille.
En face s’ouvre
la rue « Jean Baptiste COMBLE» 1 èr Maire de Barbizon anciennement « Allée des Tilleuls»
La villa Bernard… les célébrités : Coco Chanel, Girraudoux, Citroën…
Au bout de celle-ci se trouve la « Villa BERNARD» ou se rencontrèrent André CITROËN, Jean COCTEAU, Jean GIRAUDOUX, DIAGUILLEV, Coco CHANEL, Paul IRIBE ..
Rue Theodore Rousseau
N°11 – « L’AUBÉPINE »
Le Général VORUZ y reçu en 1945 le Général PATION libérateur de la France.
N°13 – Louis RENAULT Prix Nobel de la Paix
– 1 er français à obtenir le « Prix Nobel de la Paix» habita cette maison.
N°21 – « LES RAMAGES » T’SERSTEVENS,
écrivain, ami de Roland DORGELÈS, de Francis CARCO et d’André BILLY, Y résida.
N°33 –Maison d’Arribas …
Cette villa fut la résidence du peintre Pierre THOREL puis l’atelier de Roland ARRIBAS co-fondateur de l’École·’dè Peinture Art et Nature de Barbizon.
« Place Marc JACQUET » Parking et Office du Tourisme
Ministre, Député, Maire de Barbizon de 1953 à 1971
« SALLE DES FETES » Salle d’exposition.
Salons de peintures, lieu des festivités locales. Inaugurée en 1964, par Alain POHER président du Sénat et de nombreuses personnalités
avec le concours du chanteur Sacha DISTEL pour la partie artistique.
ALLEE Ferdinand CHAIGNEAU
N°2 – « LA BERGERIE» de Chaigneau
Habité autrefois par Ferdinand CHAIGNEAU appelé le peintre des moutons. Les PRÉVERT y furent reçus.
Place des fêtes et Rue Theodore Rousseau
Allée Ferdinand Chaigneau –N°2- La bergerie ( ?)
Ferdinand Chaigneau
en puisant son inspiration, à partir de 1858, dans le spectacle verdoyant de la forêt de Fontainebleau. Il devient ainsi, avec Théodore Rousseau et Jean-François Millet, un des membres de l’École de Barbizon, lieu où il s’installe en 1858 dans sa maison qu’il nomme La Bergerie, où naîtra son fils Charles-Paul Chaigneaux (1879-1938) qui produira, comme son père, des scènes pastorales de la même veine. Il a également des filles : Marguerite, Suzanne (1875-1946), violoniste qui forma avec ses deux sœurs un trio de musique de chambre dit « Trio Chaigneau ». Suzanne est la mère de la cantatrice Irène Joachim (1913-2001).
Il est particulièrement réputé de son vivant pour son art de la peinture animalière, caractérisé par son talent à jalonner de troupeaux de moutons de la plaine de Chailly, dans les sites qu’il peint, procédé qui constitue en quelque sorte sa marque de fabrique. Il est également un graveur apprécié, auteur d’un album de douze eaux-fortes originales intitulé Voyage autour de Barbizon. Par ailleurs, il publie en 1880 un Projet de réorganisation des expositions annuelles des beaux-arts.
Ferdinand Chaigneau meurt le 23 octobre 1906 à Barbizon, village ou il habitait, et y repose avec sa fille Suzanne. Outre dans les musées français, ses toiles sont conservées dans des collections publiques nord-américaines ainsi qu’au Brésil.
les Prévert, reçus à la bergerie
Rue du 23 Août, route de Paris et Chailly
la plaine de l’Angélus,
« La Plaine de l’Angélus » – Immortalisée par Jean François MILLET Classée à l’inventaire des sites
le terrain d’atterissage des frêres Farman
« La Plaine de l’Angélus » Elle servit de terrain d’atterrissage aux frères FARMAN pionniers de l’aviation dont le monument inauguré en 1985 commémore leurs mémoires.
N°52 – « La cure d’Air » des enfants de Vitry-sur-Seine
Cette propriété fut longtemps « La Cure d’air» des enfants de la ville de Vitry sur Seine. Maurice THOREZ, secrettaire du Parti Communiste français rendait visite à sa tante alors gardienne.
N°45 “ le chaperon rouge”
Mireille Perrey, actrice … les parapluies de Cherbourg…
N°19-21 La gare de marchandises du “Tacot”
La gare de Marchandises du « Tacot » occupait cet emplacement jusqu’en 1939 d’où partaient des wagons chargés de betteraves.
N°13 Groupe scolaire
Édifié sur l’emplacement de l’ancienne Mairie et Secrétariat de Mairie
N°5 Une petite épicerie
vendait des légumes cultivés dans un jardin voisin
N°6 – Galerie Triade…
Devenue Annexe du Musée départemental – c’était le célèbre Galerie Triade de Suzanne Tarasieve –
De 1904 à 1947 Bureau de Poste Télégraphe Téléphone puis magasin d’électricité et d’électroménager
N°2 -Au bon coin
rue du Général de Gaulle
N »2 – Restaurant « LE RELAIS »
Ancienrrernent « Hôtel Toulouse» à l’angle de la rue de Fleury, l’autre angle était occupé par le Café Restaurant du « Bon Coin
N°1 Belle villa “Le beau regard”
N »36 –L’inventeur de l’aspirateur…
Maison qui fut habitée par l’inventeur de l’aspirateur (Aspirateur Birum)
N »38 – Patrice PELAT
y recevait souvent son grand ami François MITTERRAND.
En allant vers Fontainebleau et Chailly
RUE DIAZ
N° 2 – Ancien atelier du peintre Michel LACOSTE
fondateur de l’association « Ombres et Lumières»
RUE ANTOINE BARYE
N° 4 – Hôtel Restaurant « LES ALOUETTES »
Ancienne propriété du philosophe Gabriel SÉAILLES et de sa femme artiste peintre.
Leur fille Andrée SÉAILLES dite Lily également peintre, conseillère municipale de Barbizon, habita « Le Clos» rue DIAZ jusqu’en 1983.
PLACE DE L’ANGELUS
Au lendemain de la 1ère guerre mondiale le Conseil Municipal proposa de donner le nom de Georges CLEMENCEAU à cette place et d’y ériger le monument aux Morts. Projet sans suite, elle resta la « Place de l’Angélus» départ logique du Chemin de la Messe.
RUE RENE MENARD
N°4 – « TUMBLE INN » –
Ouvert en 1920 par Alfred GRAND, figure emblématique, ce célèbre Bar américain reçu des hôtes illustres parmi lesquels Albert 1 èr Roi des Belges, André de Grèce, le prince de Galles futur Duc de Windsor, Charlie CHAPLIN , Jean COCTEAU etc ..
RUE DU CHEMIN DE LA MESSE
Avant que la chapelle ne fut consacrée les Barbizonnais empruntaient ce chemin pour se rendre à la messe à Chailly en Bière d’où son nom.
N° 20 – Les frères Farman
Dans cette propriété de plusieurs hectares, les frères FARMAN célèbres constructeurs d’avions y venaient en villégiature atterrissant avec leurs propres avions non.loin de là dans la « Plaine de l’Angélus ».
RUE CHARLES JACQUE
N°4 – « LA ROUSSELIÈRE » – « Les Hirondelles » –
Ancienne habitation du sculpteur Ernest RÉVILLON auteur du GAULOIS – Monument aux Morts de Barbizon.
N°11 – Atelier du sculpteur Ernest RÉVILLON.
Cet atelier acquis par la commune devint la 1ère Salle des Fêtes du village, provisoirement une classe maternelle:
puis l’école de peinture « ART et NATURE» crée par Daniel ROUVIÈRE – Roland ARRIBAS s’y installa en 1972.
Reprise par Georges DALMEN cette école est aujourd’hui très fréquentée.
N°10 – Ancienne résidence de Marius ROGER,
maire de Barbizon de 1929 à 1935.
N°16 – « LE RELAIS» Fernandel…
résidence temporaire du chanteur et acteur FERNANDEL en 1942/1943.
N°26 – Daniel Rouvière
Atelier et habitation du peintre animalier Daniel ROUVIÈRE fondateur de l’École de peinture « Art et Nature» et grand collectionneur
RUE JULES BOURDOIS
Cette rue très calme porte le nom d’un ancien entrepreneur de maçonnerie et travaux publics dont le chantier et dépôt occupaient les terrains alentours
N°6 – «Ma Coquille» construite par André ROUVEYRE
pour rester près de son ami André BILLY
N°7 – « LA CHEVRETTE » ancienne résidence de l’écrivain et académicien Goncourt André BILLY
qu’il fit construire en 1930. Son livre « Les Beaux Jours de Barbizon» retrace avec humour une partie de la vie du village.
‘A sa mort il fit don de son importante bibliothèque à la ville de Fontainebleau
Page 13
[…] au fait ?…Voudriez vous faire… UNE VISITE COMPLETE DE BARBIZON, PAS à PAS ? Regardez les cartes postales anciennes ! Découvrez les souvenirs et les trésors de chaque […]
J’aimeJ’aime
[…] Parcourez les souvenirs de chacune des maisons célèbres de Barbizon ! […]
J’aimeJ’aime